Xanthélasma : traitement non chirurgical par Plexr

Le xanthélasma ou xanthome, une lésion non cancéreuse, se manifeste sous forme de plaques jaunâtres sur les paupières, souvent près du nez. Les causes incluent un taux de cholestérol élevé, des troubles génétiques affectant le cholestérol ou le diabète. Ces dépôts de cholestérol sont fréquents chez les patients avec des taux élevés de graisses ou de triglycérides dans le sang, bien que cela ne soit pas systématique.

Les méthodes pour éliminer le xanthélasma comprennent des remèdes naturels comme le changement de régime alimentaire et l’utilisation de gel d’Aloe vera. Des traitements médicaux tels que la cryothérapie, l’ablation par laser CO2, l’électrolyse, la dermabrasion, l’acide trichloracétique, l’électrodessication, la cautérisation chimique, la radiofréquence, le PlexR et la chirurgie sont également disponibles.

Le xanthome peut être traité de la même manière que le xanthélasma.

Bien que des remèdes naturels comme les changements alimentaires et l’utilisation de gel d’Aloe vera soient suggérés, leur efficacité est limitée. Pour des résultats plus efficaces, des traitements médicaux non-chirurgicaux comme le PlexR sont recommandés.

Le PlexR est considéré comme le traitement le plus efficace et simple contre le xanthélasma. Cette technologie non-invasive utilise le plasma pour vaporiser les plaques jaunâtres sans chirurgie. Une séance unique d’une demi-heure à une heure suffit généralement, avec des précautions post-traitement simples et des résultats efficaces sans cicatrices, douleur, ou récidives notées.

Le xanthélasma ne tend pas à disparaître spontanément avec le temps. Cette affection, caractérisée par des dépôts de cholestérol sous forme de plaques jaunâtres, nécessite généralement un traitement pour être éliminée.

Le Dr Didier Dubois, médecin esthétique à Angers, est spécialisé dans le traitement du xanthélasma, notamment en utilisant la méthode Plexr, une technique non chirurgicale innovante.

En général, après un traitement non chirurgical du xanthélasma, comme avec le Plexr, la capacité de conduire n’est pas significativement affectée. Ces traitements sont habituellement peu invasifs et ne nécessitent pas d’anesthésie générale, permettant ainsi aux patients de reprendre rapidement leurs activités normales.

Oui, il est possible de faire enlever chirurgicalement le xanthélasma. Cette méthode implique l’ablation des plaques par excision sous anesthésie locale. Cependant, pour ceux qui recherchent une alternative moins invasive, le Plexr offre une solution non chirurgicale. Le Plexr traite le xanthélasma grâce à une technologie basée sur le plasma, évitant ainsi les incisions, les sutures, les cicatrices, et réduisant les risques et le temps de récupération par rapport à la chirurgie traditionnelle.

La guérison après une opération chirurgicale de xanthélasma peut varier selon l’individu et la méthode utilisée. En général, la période de récupération peut prendre quelques semaines. Avec le Plexr, une méthode non chirurgicale, les plaies sont généralement réépithélialisées en 1 à 2 semaines, et la zone traitée doit être protégée pendant environ 3 mois pour éviter un rebond pigmentaire.

La chirurgie du xanthélasma entraîne un certain inconfort et nécessite toujours une anesthésie locale. En revanche, le Plexr, une méthode non chirurgicale, minimise la douleur et l’inconfort. Cette technique utilise une crème anesthésiante avant le traitement et ne nécessite ni incision ni suture, rendant l’expérience relativement peu douloureuse.

Le coût de l’élimination du xanthélasma varie en fonction de la méthode choisie. Le traitement avec le Plexr coûte à partir de 420 €, selon l’étendue du xanthélasma.

Le xanthélasma en lui-même ne provoque généralement pas de douleur. Cependant, les procédures utilisées pour le retirer peuvent causer un certain inconfort. Les méthodes non chirurgicales comme le Plexr sont conçues pour minimiser la douleur et l’inconfort pendant le traitement.

La couverture de l’élimination du xanthélasma par une assurance dépend des politiques spécifiques de chaque assureur et si la procédure est considérée comme médicalement nécessaire ou esthétique. En général, les procédures purement esthétiques ne sont pas couvertes par les assurances.