Les acrochordons peuvent apparaître pour diverses raisons. Bien que leur cause exacte reste inconnue, des facteurs de risque comme l’obésité, le diabète, la grossesse, ou des troubles des glandes sébacées ont été observés. Ces petites excroissances sont plus fréquentes chez les personnes en surpoids et chez les quadragénaires.

Un acrochordon se présente comme une petite lésion pédiculée de couleur chair ou foncée, généralement située dans les zones de plis de la peau comme le cou, les aisselles, ou les parties génitales. En cas de doute, une consultation chez un médecin esthétique comme le Dr Didier Dubois est recommandée pour une identification précise.

Les acrochordons, y compris l’acrochordon vulve et l’acrochordon pénis, ne sont généralement pas le signe d’une condition médicale grave. Ils sont souvent inoffensifs et ne sont pas douloureux ni contagieux. Cependant, en présence d’autres symptômes, il est judicieux de consulter un médecin.

Les acrochordons ne sont pas contagieux. Ils ne se propagent pas par contact physique ou sexuel. Ainsi, il n’est pas nécessaire de prendre des mesures pour les « stopper » en termes de contagion.

Pour distinguer un acrochordon pubis ou génital d’autres lésions cutanées, observez sa forme et sa texture : les acrochordons sont généralement petits, mous et pédiculés, c’est-à-dire attachés à la peau par un petit pied. Leur couleur est souvent semblable à celle de la peau environnante ou plus foncée.

À la différence des verrues génitales ou d’autres excroissances, ils ne provoquent pas de douleur et ne changent pas rapidement de taille ou de couleur. Toutefois, le diagnostic précis demande l’examen clinique par un professionnel de santé, surtout pour les lésions sur les zones génitales, afin de différencier des affections comme les verrues génitales ou les grains de fordyce, et prendre en charge correctement.

Non, les acrochordons génitaux ne sont pas contagieux et ne se transmettent pas lors de rapports sexuels. Ce sont des excroissances bénignes qui ne présentent pas de risque de transmission.

Bien qu’il n’y ait pas de méthodes garanties pour prévenir les acrochordons, maintenir un poids santé et un bon contrôle du diabète peut aider à réduire leur apparition. Éviter les irritations cutanées dans les zones à risque peut également être bénéfique.

Il existe des remèdes maison comme l’huile de ricin mélangée avec du bicarbonate de soude, mais leur efficacité n’est pas scientifiquement prouvée. De plus, ils peuvent présenter des risques sur des zones sensibles comme les parties génitales.

Les méthodes de traitement incluent la cryothérapie, l’électrocoagulation, et le PlexR. Le Dr Didier Dubois privilégie particulièrement le PlexR pour son efficacité et sa sécurité, permettant de traiter les acrochordons sans dommage pour les tissus environnants.

Les remèdes maison, tels que l’application de vinaigre de cidre ou d’ail, peuvent être tentants, mais ils ne sont pas recommandés par les professionnels de santé en raison de leur efficacité non prouvée et des risques potentiels, en particulier sur les zones sensibles.

L’auto-traitement des acrochordons, en particulier dans la région génitale, peut entraîner des infections, des cicatrices, ou d’autres complications. Il est préférable de consulter un médecin esthétique comme le Dr Dubois pour un traitement sûr et efficace.

Bien qu’inoffensifs d’un point de vue médical, les acrochordons génitaux peuvent avoir un impact sur la confiance en soi et l’image corporelle, influençant ainsi la santé psychologique et sexuelle. Leur traitement par le PlexR peut aider à restaurer la confiance.

Les acrochordons peuvent être enlevés en toute sécurité par un médecin esthétique. Le Dr Didier Dubois, spécialiste dans ce domaine, utilise des techniques avancées comme le PlexR pour un traitement efficace, indolore, sans risque, et en une séance unique.